How to do things with words per strong stop : two studies on the Historia Augusta and Cicero

Autore: Frischer, Bernard David
Titolo: How to do things with words per strong stop : two studies on the Historia Augusta and Cicero
Rivista/Miscellanea: in: Aspects of Latin : papers from the Seventh International Colloquium on Latin Linguistics, Jerusalem, April 1993 / ed. by Hannah Rosén, 735; Innsbrucker Beiträge zur Sprachwissenschaft ; 86
Luogo edizione: Innsbruck
Editore: Institut für Sprachwissenschaft der Universität
Anno edizione: 1996
Pagine: 585-599
Parole chiave: Rhétorique - Retorica - Rhetorics, Stylistique et genres littéraires - Stilistica e generi letterari - Stylistics and literary genre
Recensione:

Wenskus, “Anzeiger für die Altertumswissenschaft, hrsg. von der Österreichischen Humanistischen Gesellschaft”, 1998, 51, (1-2), 32-39 – Moussy, “Revue des études latines”, 1998, 76, 286 – Christol, “Bulletin de la Société de linguistique de Paris”, 1998, 93, (2), 172-175 – Cupaiuolo, “Bollettino di studi latini”, 1998, 28, (1), 263-268 – Conde, “Emerita”, 1999, 67, (1), 185-187 – Escriva, “Revue des études anciennes”, 1999, 101, (3-4), 563-565

Descrizione: En étudiant les variations de longueur des «phrases» (c.-a-d., le nombre des mots par chaque signe fort de ponctuation), Marriott a tente de prouver qu'un auteur seul a ecrit l'Histoire Auguste. Notre étude soulève des objections philologiques et montre que l'analyse de Marriott comprend aussi des imperfections statistiques. L'étude d'autres historiens et biographes nous revèle quelque chose d'inattendu: le nombre de mots par signe fort de ponctuation n'est pas un bon vérificateur d'auteur, puisqu'il est assez constant d'un auteur latin a l'autre. Cette homogenéite est rattachée  à la theorie de rhétorique au sujet de la période. La théorie cicéronienne nous suggère que la variabilité de longeur de la période de l'orateur sera plus grande que celle de l'historien. L'étude des discours de Cicéron soutient cette conclusion. La théorie cicéronienne nous suggère aussi que les discours écrits dans le genus grande devraient avoir plus de mots par signe fort que ceux écrits dans le genus humile. Les deux discours cités par Ciceron lui-même (Pro Caec. et Pro Rab.) en sont une bonne démonstration [Author]
Opere:
Link: https://www.academia.edu/120219049/Cicero_and_the_Historia_Augusta
Sigla autore: Frischer 1996