Un génitif de modalité?

Auteur: Serbat, Guy
Titre: Un génitif de modalité?
Revue/Collection: in: Fruyt, M. & Moussy, C. [Éd], Les modalités en latin: colloque du Centre Alfred Ernout: Université de Paris IV, 3, 4 et 5 juin 1998, (Lingua latina, 7)
Lieu èdition: Paris
Éditeur: Presses de l’Université de Paris-Sorbonne
Annèe edition: 2002
Pages: 265-273
Mots-clès: Stylistique et genres littéraires - Stilistica e generi letterari - Stylistics and literary genre, Traduction - Traduzione - Translation
Comptes rendus:

Roesch, S., "Revue des Études Latines", 81, 2003, 298-299  

Bonnet, G., "Revue de Philologie, de Littérature et d’Histoire Anciennes", 76, 1, 2002, 167-168  

Vanséveren, S., "L’Antiquité Classique", 73, 2004, 440  

Galimberti Biffino, G., "Aevum", 78, 1, 2004, 248-251  

Garelli, M., "Circe", 9, 2004, 211-216  

Carracedo Doval, J. J., "Emerita", 72, 1, 2004, 166-173  

Brachet, J.-P., "Latomus", 63, 1, 2004, 206-207  

Miracca, A., "Athenaeum", 93, 2, 2005, 776-777

Description: [APh] [Comment] Dans la séquence «Damasippi experiendum est» (Cic. Att. 12, 29, 2), qui peut être traduite par «il faut tâter un peu Damasippe», le génitif doit être analysé comme un génitif partitif, dont on trouve aussi des exemples en grec et dans les langues slaves. Il joue dans la phrase un rôle pragmatique en opérant une véritable modalisation. À ce titre, il prend place parmi les procédés nombreux que mettent en œuvre les langues pour éviter toute brutalité dans les échanges verbaux ordinaires.
Oeuvres:
Sigle auteur: Serbat 2002